|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
Le F-GITA dans toute sa splendeur. Affecté sur la ligne Paris-Papeete via Los Angeles avant l'accident |
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
Notez que la reverse du moteur n°1 n'est pas déployée. Elle est la cause de l'embardée de l'avion. |
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
|
|||||||||||||
. |
Le train avant détruit nécessite de construire une plate-forme à roulette capable de supporter les quelques 200 tonnes de l'avion vide pour le faire rouler hors de l'eau. Il a fallu ensuite utiliser les grands moyens pour tirer et mettre le "GITA" au sec. |
Un hangar de toile est monté sur une aire dégagée de l'aéroport pour abriter l'avion. Commence alors le démontage de toutes les parties abimées ou imbibées d'eau de mer pour établir un bilan. Après quelques jours, le constat est établi: on répare. Les pièces sont commandées à Boeing. |
|
Deux mois après l'accident, au début novembre, un Antonov 124 va apporter les pièces les plus importantes, comme la partie inférieure du fuselage écrasée dans le choc. 97 tonnes de matériels venus de Seattle. Ce sont ensuite 94 techniciens de Boeing qui vont débarquer pour procéder à la réparation par équipe de 2 X 12h durant deux mois. |
|
Nouvelles infos
|
|
|
|
Construction de l'abri pour réparer le GITA. La dérive a été démontée par précaution |
|
|
|
Gros plan sur les dégâts sous le fuselage |
|
|
|
Réparé, le F-GITA repart vers la métropole le 4 janvier 1994 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Triste fin pour un avion qui a fait voyager des milliers de passagers vers le pays de leurs rêves |
|
|